Le 43, les restes de la répression – Primo Revera

Le CI 1929 est entré en service au siège de la police provinciale au numéro 43 de la Via Laietana. Après sa constitution, la Generalitat de Catalunya a placé la Commission générale de l’ordre public et, plus tard, en 1941, l’État franquiste a installé le quartier général de la police supérieure. C’était le quartier général de la brigade politico-sociale, chargée de poursuivre la dissidence politique.

Primo Rivera : un centre de répression

Depuis son inauguration, à la fin de la dictature de Primo de Rivera, c’était l’épicentre de la répression contre le syndicalisme et les travailleurs barbares. Pendant l’ère républicaine, il a continué à être un lieu de répression au point qu’il était connu dans les milieux de travail sous le nom de « El molino sangriento ».

De 1941 à l’arrivée de la démocratie, il devint le centre de la répression politique franquiste à Barcelone. Pour leurs cellules malsaines et saturées, des dizaines de combattants anti-franquistes ont subi toutes sortes de tortures lors des interrogatoires.

Une lettre d’information de 2019

Avec cette lettre d’information installée en 2019, le conseil municipal de Barcelone a voulu souligner l’espace emblématique de la répression politique de la ville et évaluer le coût de la conquête de la démocratie et de l’égalité.

Le 43, les restes de la répression – Primo Revera

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut